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Notre histoire  

Lucie-Carmela 

 

Trentenaire, jeune maman et profondément écolo.

 

Elle a commencé le métier de coiffeuse en 2005, après le collège. Au début elle s’oriente dans cette voie par défaut. Mais très rapidement elle découvre lors d’un voyage à Londres : la Vidal Sassoon Academy, et ce fût la révélation.

 

En 2007, voyant qu’il n’existe aucune Vidal Sassoon Academy en France et constatant que l’univers de la coiffure française ne représente aucunes de ses valeurs, elle décide de se former dans une école artistique: l’Atelier du Griffon, à Lyon. Elle y apprend le maquillage, la coiffure historique, l’implantation de perruque ainsi que les prothèses FX. Elle se révèle parmi les artistes, trouve son chemin, se fait de l’expérience. Mais ce milieu clos est difficile à percer alors elle cherche un petit boulot en parallèle. Et c’est par hasard que son chemin croise celui de Christo B, un disciple de Vidal Sassoon*, en plein coeur de Lyon. Elle passera 4 ans avec lui et son équipe d’enfer. Elle y apprendra les techniques de Sassoon, puis transmettra ce savoir via l’académie Christo B en tant que formatrice. 

 

Bien que professionnellement épanouie, elle décide, en 2013, de tout quitter pour se faire une expérience outre-Atlantique à Montréal. Où elle sera manager d’équipe d’un salon REDKEN.

 

Même si cette expérience était merveilleuse, REDKEN est une marque issue de la pétrochimie et est de ce fait, très polluante et nocive pour la santé humaine et animale. Devoir laisser tous les matins ses convictions à la porte de son travail, cela n’est plus possible. 

 

En 2015, Lucie-Carmela arrête la coiffure pour se reconvertir dans le design intérieur et ouvre son entreprise de design local et eco-responsable. Mais la coiffure lui manque, alors elle cherche à reprendre les ciseaux. Elle travaille dans un salon à Schiltigheim où elle découvre Marcapar, mais la COVID vient ébranler cette aventure.

 

 

Elle travaille ensuite dans plusieurs salons de coiffure strasbourgeois qui se disent naturels sans l’être vraiment ou qui ont une vision trop éloignée de la sienne. De nouveau forcée à mettre ses convictions de côté, elle ne veut plus faire de compromis, ni de greenwashing et c'est alors que commence l'aventure : La Poudrière 

Que faire maintenant ?

« Et si je créais un endroit qui me correspond, où tout sera 100% naturels, bon pour l’Homme et l’environnement, tendant au maximum vers le zéro déchets? Un endroit qui serait lavé et nettoyé avec ce même respect. Un endroit où je pourrais chouchouter mes clients, travailler la technique de coupes architecturales qui m’est si chère, où je pourrais m’exprimer grâce aux poudres tinctoriales de Marcapar*. Un endroit où l’on respecte les goûts de chacun sans imposer le dictat de la mode. »

 

Et voilà, La Poudrière a commencé a germer. 

 

Jean-Jérôme

 

Trentenaire, jeune papa et convaincu par le concept.

 

Après des études en marketing, il se spécialise en B to B au Québec, où il travaille pour une entreprise qui aide les start-up françaises à s’implanter au Canada. Maintenant il travaille outre-Rhin.

Il gravite autour de La Poudrière, apportant son aide pour développer La Poudrière et trouver de nouveaux partenaires. C’est un homme de l’ombre.

 

« Car derrière chaque grande femme, se cache un homme » Non? Ce n’est pas ça la citation? 

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Pourquoi La Poudrière ?

 

Nous avons d’abord imaginé l’aménagement du lieu car nous voulions mettre en avant les poudres de plantes tinctoriales. Ensuite nous voulions un nom qui représente le lieu sans mettre en avant une personne. Pour finir, nous avions l’envie de faire un clin d’oeil à nos confrères, avec un petit jeu de mots en deuxième lecture. La Poudrière (Poudrihair) synthétise parfaitement toutes ces envies.

 

Ce qu’il faut savoir, c’est que ce lieu a été imaginés avec nos sens.

-D’abord l’odorat. Eveillé par l’odeur des plantes tinctoriales telles que le curcuma, ou l’indigotier qui mijotent à feu doux pour créer des nuances uniques et un soin sans pareil pour vos cheveux.

-Puis la vue. Tous ces bocaux en verre remplis de poudres aux couleurs chaudes créant ainsi un camaïeu de jaune au brun.

-Vient le toucher. Cette sensation de bien-être que l’on ressent lorsqu’on sent la chaleur du cataplasme sur le cuir chevelu.

-Puis l’ouïe. Un sens sensible, un peu trop pour certain. Ici, vous serez dans une ambiance calme et feutrée où vous pourrez vous détendre.

 

Et enfin, pas le moindre, le goût, nous attendons avec impatience que le gouvernement nous autorise de nouveau à vous offrir un bon café local et des gourmandises d’artisans strasbourgeois. 

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